Les arômes dégagés par le vin donnent de précieuses indications sur son âge, les cépages qui le composent, la région dont il provient. Par exemple, on reconnaîtra un sauvignon blanc à ses notes florales, de buis, légèrement citronnées tandis qu’un vin de muscadelle présentera des arômes muscatés, de fruits exotiques. La fonction olfactive représente 70% des informations fournies par la dégustation.

En pratique, sentir le vin se décompose en deux étapes :

– SENTIR UNE PREMIERE FOIS  (1er nez ) en laissant le verre immobile pour déterminer le caractère général du vin. On identifie les arômes primaires qui sont des arômes variétaux, c’est-à-dire provenant du cépage (ex : le buis pour le sauvignon). Ils sont influencés par le millésime, le terroir et le climat.

– FAIRE TOURNER LE VERRE PUIS SENTIR (2ème nez). Ce geste permet d’aérer le vin et d’en libérer un maximum d’arômes secondaires. Ces derniers proviennent de la fermentation, ils seront un indicateur de la richesse du vin.

Des arômes tertiaires se libèrent au bout de 30 minutes. On peut les reconnaître dans le verre vide.

Le nez humain est sensible à des milliers d’odeurs différentes. On les classe de manière générale en dix catégories : florale, fruitée, végétale, animale, minérale, balsamique, chimique, éthérée, épicée, empyreumatique.

Vous avez apprécié la richesse arômatique du vin au nez, il est alors temps de passer à la troisième étape de la dégustation : GOUTER.

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